Soirée Tarot de Marseille : « Lire le Tarot comme une BD »

LUNDI 11 SEPTEMBRE 2023

18h30-21h30

17 rue Molière 75001 PARIS

60€ la soirée, buffet compris végétarien/bio/fait maison

Tarologues confirmés ou débutants soyez les bienvenus pour cette séance de tirages pratiques du Tarot de Marseille : un atelier consacré à tous !

Le seul pré-requis ? Oublier notre formatage culturel et nos éventuelles connaissances du Tarot et de la symbolique ésotérique pour développer son intuition en nous focalisant sur les illustrations des arcanes majeures. Nous allons en effet pouvoir nous autoriser à démystifier le jeu et oublier toute la charge portée par son histoire mystérieuse, ses codes et sa symbolique cachée, en adoptant un regard neuf.

Christine Hadjian, Tarologue, accompagnée de Sophie Rusniok, énergéticienne, vous guiderons dans vos lectures pour vous inviter à décrypter le Tarot avec des yeux d’enfant : former des phrases grace aux images, imaginer des rébus, composer des bandes-dessinées pour que chacun puisse apprivoiser en toute simplicité cet outil de conscience pour soi-même et pour son entourage.

Participer à un atelier pour s’initier au Tarot tout en apprenant sur vous-même, ça vous dit ? Ca se passe à Paris le lundi 16 janvier avec Christine Hadjian, Tarologue, et moi même, dans la convivialité et la bonne humeur. Nous allons retrouver notre âme d’enfant en jouant, en tirant les cartes, en jetant les dès…pour tenter de comprendre la nature de notre élan amoureux, identifier ce qui bloque, ou vers quelles énergies il serait bon pour nous d’aller. Une soirée pour nous aider à harmoniser notre relation de couple actuelle ou à trouver l’âme-soeur. En plus un petit buffet sera offert.

Nutrition : la production d’antioxydants par les fruits et légumes d’après James Wong

C’est parti pour la minute diététique ! 🥦😆 Saviez-vous que les parmi les familles de fruits et légumes, plus la variété est (la plupart du temps) de couleur foncée, plus les nutriments sont élevés en terme d’antioxydants et de polyphénols ?

Quelques exemples : la feuille de chêne, la carotte noire, la patate violette, les oignons rouges, le potiron kabocha vert, les pêches, les prunes, les cerises, les agrumes.

C’est tout simple, nos amis se protègent des rayons UV en produisant une réponse chimique.

Pour le raisin par exemple ce sont les anthocyanes qui répondent à l’agression par ces composés agissant comme crème solaire pour protéger leurs cellules. Plus la vigne est au soleil, plus elle produit et donc concentre ces nutriments dans le grain. Et la nature est tellement bien faite que le goût du fruit est encore plus prononcé pour que le plaisir associé à cette dégustation nous ravisse les papilles et contribue à la sécrétion d’hormones bénéfiques pour notre cerveau et notre bien-être. C’est pas beau ça ? ça a du bon d’être gourmand !

Un exemple qui ne contient aucun élément nutritif : l’endive, qui ne voit pas le soleil. Ou encore le coeur de la salade Iceberg ou pommée, procédé adopté par certains maraîchers pour avoir un coeur de salade bien blanc. Donc, mieux vaut privilégier les salades que l’on laisse s’épanouir naturellement.

Quelques exemples en images avec mon repas de midi et de saison : feuille de chêne, houmous de persil, tarte salée au Kabocha et oignons rouges, carotte violette (+ ail/gingembre/graines de sarrasin, sésame et pavot/moutarde au miel).

Conclusion : pour votre santé, choisissez votre fruits et légumes en fonction de ces indications selon les besoin nutritifs de votre corps, à définir avec votre médecin traitant et votre diététicien par le biais d’analyses sanguines.

Dernier conseil : les crudités comme la carotte, s’assimilent mieux avec une huile végétale comme par exemple dans mon assiette, l’huile de noisette. Il est donc préférable de les consommer ainsi plutôt que nature.

Ces informations sont issues du livre « Manger mieux pour vivre mieux », que j’utilise au quotidien. Et bonne surprise, il y a même un chapitre sur la bière et le vin pour les épicuriens décomplexés comme moi !

La Peur de l’Invisible à La Cryogénie à Strasbourg, protocole artistique élaboré par Simon Zara et coécrit avec Dilda Ramazan et Sophie Rusniok

Déjà deux semaines que je suis rentrée de Strasbourg où j’ai vécu cette très enrichissante expérience avec Simon et Dilda.

Lors des deux jours d’exposition, nous avons reçu de nombreux participants prêts à faire l’expérience de ce protocole artistique né d’un travail commun entre l’artiste Simon Zara, la Commissaire d’exposition Dilda Ramazan et moi-même. Le projet visait en premier lieu à demander au participant de fournir à l’équipe une photographie prise et diffusée en ligne par lui-même.

Un contrat entre l’artiste et chaque participant officialisait cet acte et chaque personne était invitée à entrer dans une première salle où une photocopieuse était installée au centre de l’espace. Cette dernière sera utilisée pour photocopier le téléphone sur une page A4 qui accompagnera le téléphone confié à l’équipe en le plaçant dans un bac.

Enfin, la dernière étape consistait à entrer dans une arrière salle où j’étais présente, et d’entamer un dialogue concernant l’ image choisie par le participant et les conditions de la prise de vue. S’en suivait une séance de visualisation où j’invitais les participants à explorer avec plus de précisions que dans un état de conscience « ordinaire », ses intentions, son état d’esprit au moment de la prise de vue et de la diffusion de l’image.

Sur une invitation de la curatrice Dilda Ramazan, l’artiste-chercheur Simon Zara propose « La peur de l’invisible », coécrit avec la thérapeute holistique Sophie Rusniok. Ce protocole artistique conçu pour deux jours invite le public à des séances de méditation (individuelles et collectives) dont l’objectif est d’exhumer l’événement photographique, aspirant ainsi à décentrer les images, à les considérer sur une autre scène, celle de l’esprit, du hors-champ ou encore à travers l’échange. Plus largement, l’enjeu est de reconsidérer le mode de diffusion de nos images, l’acte de rendre public une photographie, le droit à l’image et le droit à l’oubli.

STRUCTURES SONORES BASCHET ou l’art de la vibration du son par le cristal

Le son a une place majeure pourrait-on même dire primordiale dans le Reiki. Au second degré mais déjà au premier degré, je compare souvent l’initiation au fait de faire vibrer un diapason sur le corps de l’initié pour qu’il s’accorde à l’énergie.

Bien que je connaisse d’excellents enseignements de sonothérapie, parmi mes anciens stagiaires d’ailleurs, j’ai décidé de m’orienter en premier lieu vers une formation plastique et scientifique du son.

Avez-vous déjà essayé de produire du son avec les verres en cristal de mamie ? Le cristal Baschet, connu internationalement pour ce magnifique son cristallin qui fait vibrer toute notre âme, a été inventé par les frères Bernard et François Baschet, aujourd’hui disparus.

C’est la semaine prochaine que je serai initiée, au sein même de leur atelier et après un an d’attente, à ces instruments dont les spécificités sont leur caractère sculptural, leur sonorité totalement acoustique (pas d’électricité), et leur effet vibratoire quand le son des cristaux s’en dégage, grâce à l’utilisation de l’eau.